« La MER, en grande artiste, tue pour tuer, et rejette aux rochers ses débris, avec dédain. »
Jules Renard
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Maître Pareto avait raison quand il disait "trivial many, vital few». Mais allons directement à la leçon du jour, car je ne peux écrire beaucoup dans ce blog océanique. Pourquoi ne puis-je pas écrire beaucoup? Parce les Brésiliens aiment voir des télénovelas, arrrghh! ce sirop épais! mais détestent lire, hélas. Heureusement, la leçon d'aujourd'hui est courte et simple. Elle est toute nouvelle et ancienne à la fois, donc éternelle et peut se résumer en une sagesse de cinq mots:
"Mieux vaut prévenir, que guérir».
Quelle belle pensée, n'est-ce pas les amis?
Si nous l'appliquions tous, dans la pratique, du premier au dernier jour de nos courtes vies, notre plaisir grandirait à la puissance dix et nos peines tendraient vers zéro. Le problème est que s'il vaut mieux prévenir, la prévention n'est hélas pas toujours évidente, claire ou possible... Comment, dites-moi, le courageux Jean-Pierre Dick, troisième dans la course, qui a vécu une journée de chien hier, aurait-il pu empêcher la casse du loop (manille textile) qui tient l’étai principal de solent au pont de son bolide ailé? That is the question !
Fernando Costa
Extrait du post ci-dessous traduit et peaufiné par la journaliste
et romancière suisse Barbara Fournier
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