Océan Atlantique - 2013 - photo de Fernando Costa
"En effet, dans cette partie du Pacifique, en dehors du passage des navires, il pouvait craindre de n’être jamais secouru. C’était donc sur
eux-mêmes, sur eux seuls, que les colons devaient compter, car la distance de l’ÎLE Lincoln à toute autre terre était telle, que se hasarder sur un bateau, de construction nécessairement médiocre, serait chose grave et périlleuse.
« Mais, comme disait le marin, ils dépassaient de cent coudées les Robinsons d’autrefois, pour qui tout était miracle à faire. »
Et en effet, ils « savaient », et l’homme qui « sait » réussit là où d’autres végéteraient et périraient inévitablement."
eux-mêmes, sur eux seuls, que les colons devaient compter, car la distance de l’ÎLE Lincoln à toute autre terre était telle, que se hasarder sur un bateau, de construction nécessairement médiocre, serait chose grave et périlleuse.
« Mais, comme disait le marin, ils dépassaient de cent coudées les Robinsons d’autrefois, pour qui tout était miracle à faire. »
Et en effet, ils « savaient », et l’homme qui « sait » réussit là où d’autres végéteraient et périraient inévitablement."
Jules Verne
Leia (em português) uma introdução a esta série de posts clicando aqui.
Nenhum comentário:
Postar um comentário
Seus comentários, críticas ou elogios farão meu blog evoluir. Obrigado por participar.