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sábado, 7 de janeiro de 2012

Banque Populaire V nouveau détenteur du Trophée Jules Verne




Trois ans et demi après sa mise à l'eau en août 2008 et après sa deuxième tentative, le Maxi Banque Populaire V vient d'entrer de plein pied dans la grande histoire des records en s'emparant du Trophée Jules Verne au terme d'une navigation de 45 jours 13 heures 42 minutes 53 secondes autour du globe et d'un parcours sans faute contre le temps et les éléments. Arrivés à Brest ce matin sous les acclamations de centaines de supporters, Loïck Peyron et les 13 équipiers viennent de réaliser un exploit sans précédent, avalant les 29 002 milles de leur parcours à la vitesse moyenne de 26,51 nœuds, méritant plus que jamais leur réputation de
chasseurs de record. Après plus de vingt années d'engagement en tant qu'armateur, le Groupe Banque Populaire inscrit ainsi une ligne historique à son palmarès et voit sa fidélité une nouvelle fois récompensée. Cette performance et ce graal de la course au large sont aujourd'hui le fruit de l'immense travail fourni par une équipe technique hors paire et de la cohésion d'un groupe fort et uni. Bravo et merci Messieurs ! A peine partis et déjà de retour, voilà l'impression qui dominait ce matin quand les 40 mètres du trimaran géant sont venus s'amarrer au ponton de la marina du port du Château. Au matin du 22 novembre dernier, le Team Banque Populaire déclenchait le décompte du temps en coupant la ligne de départ du Trophée Jules Verne entre Ouessant et le cap Lizard. A bord du grand multicoque, Loïck Peyron et treize équipiers, dont huit bizuths du tour du monde, pointaient alors leurs étraves vers un défi unique et s'attaquaient aux 48 jours 7 heures 44 minutes et 52 secondes du temps de référence détenu depuis mars 2010 par Franck Cammas et Groupama 3. D'entrée de jeu, 30 nœuds de secteur Nord propulsaient l'équipage vers L'Equateur et plongeaient les hommes dans le vif d'un sujet un peu corsé. Deux jours de mer dans le sillage et déjà l'archipel des Canaries était derrière eux. Après un Pot au Noir express, le Maxi Banque Populaire V pointait ses étraves dans l'hémisphère Sud, à peine une semaine après son départ. Signant une superbe courbe atlantique et passant maître dans l'art des grandes glissades, il pulvérisait le temps de passage à Bonne Espérance, faisait son entrée dans l'Indien moins de douze jours après le coup d'envoi et totalisait alors 2 364 milles d'avance, ce qui allait se révéler le plus grand delta sur l'ensemble du parcours. Sitôt franchie la porte symbolique du Grand Sud, les glaces s'imposaient comme un acteur à part entière sur l'échiquier, imposant de garder ses distances et plus que jamais de doser l'effort pour épargner la machine. A mi-parcours, le Pacifique se révélait fidèle à sa réputation et infligeait des conditions de navigation particulièrement éprouvantes ; des vents très violents, une mer extrêmement inconfortable, rien ne manquait. Au vingt-quatrième jour de course, la menace fantôme se concrétisait, prenant la forme d'une rencontre aussi inoubliable qu'impressionnante avec les icebergs et leurs dérivés, ces growlers qui plongeaient les marins de la Banque de la Voile au cœur d'un véritable champ de... LINK

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