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sexta-feira, 4 de fevereiro de 2011

- Água! Água! Água! - Polyrama - Barbara Fournier




EM BRASILEIRO

- Salve amigas e amigos leitores!
- Já confessei a vocês que não gosto de trabalhar?
- Gosto de trabalhar não, prefiro velejar.
- Deus inventou o vento e a MAR só pra gente velejar...
- Quem muito trabalha pouco veleja.
- Eu prefiro trabalhar o mínimo possível, pra poder velejar o máximo possível.
- Mas de todos os trabalhos que já fui obrigado a realizar neste mundo de Deus e do diabo idem, pra sobreviver, meu favorito foi colaborar durante três anos com a suculenta revista suiça Polyrama, em cujos arquivos fui buscar dois extratos pra partilhar com vocês.
- O tema é do interesse de todo ser vivo.


- Água!
-  Alguém aí não gosta de beber água quando está com sede?
-  Alguém aí não gosta de tomar banho durante o verão?
- Alguém aí não gosta de nadar numa piscina ou melhor ainda na praia?
- Alguém aí não gosta de mergulhar na paradisíaca Costa do Sol (Arraial do Cabo, Búzios e Cabo Frio)?
- Alguém aí não gosta de surfar. Hein Caio Moraes?
 - Alguém aí não gosta de deslizar por cima de uma lâmina d'água espessa ou fininha a bordo do rei dos brinquedos pra ambos os sexos e todas as idades?
- Silêncio?
-  Então esse post é do interesse de todos vocês.
- Leiam-no já!
- Tá em francês, mas francês é irmão do português e depois, a net tá cheia de tradutores on line.
- Só neste blog, procurando vocês encontrarão dois.
- Onde?
- Um na coluna da direita em cima, outro no rodapé.




EM FRANCÊS

A la recherche de l’or bleu

Par Barbara Fournier

L’eau, source de vie par excellence, est notre or bleu. Un trésor qui n'est ni inépuisable, ni inaltérable. Au XXIe siècle, l'eau va poser aux hommes, qui continuent trop souvent à la traiter avec une nonchalance coupable, un certain nombre de défis majeurs pour notre avenir sur la Planète. Quels sont les dangers, les espoirs, les ébauches de solutions ? Ce dossier ouvre quelques voies pour mieux comprendre des enjeux qui nous échappent dans la banalité facile de notre quotidien où l'eau ne cesse presque jamais de couler de source.
Les thèmes abordés viennent aussi nous rappeler notre responsabilité d'homme dans un monde dont nous demeurons les invités et non les maîtres. Mais l'eau, c'est aussi l'éveil sans cesse renouvelé à la poésie, à la magie de cette beauté toujours intacte de la vie. C'est pourquoi d'ici et d'ailleurs, d'hier et d'aujourd'hui, les chants des poètes se mélangent aux ruissellements, aux clapotis, aux bouillonnements de celle qui ne se tait que lorsqu'elle s'endort. link-do-texto



Quand l’eau dévaste tout sur son passage…

Par André Musy

Plus une semaine sans qu’on nous annonce un accident, voire une catastrophe, lié à l’eau dans de nombreux endroits du monde. Les événements tragiques d’octobre dernier en Valais et en Italie du Nord sont encore venus nous le rappeler. Que se passe-t-il donc ? Nos rivières sont-elles plus sollicitées ? Les aménagements hydrauliques sous-dimensionnés ? Les quantités d’eau à transiter nettement supérieures à celles du passé ? Notre territoire devient-il fragile ? Les réponses du Professeur André Musy, directeur de l’Institut d’aménagement des terres et des eaux à l’EPFL.



Une inondation due à de fortes pluies, dans un cas, un éboulement de boue liquide et visqueuse dans un autre, une rupture de digue par ici, un débordement de rivière ou de réservoir par là-bas. Ces « accidents» s’avèrent souvent extrêmement importants et dommageables tant sur le plan humain qu’en termes de dégâts matériels. De surcroît, ils peuvent entraîner des modifications environnementales irréversibles.

L’heure de la négociation a sonné

Les interrogations suscitées par ces événements dramatiques conduisent souvent à des réponses à la fois vagues et sectorielles : on interviendra sur le terrain, à l’image du pompier lors d’un incendie, donc très localement et trop partiellement. Il est vrai que depuis l’aube de son histoire, l’Homme a dû apprendre à vivre avec l’eau et ses excès. Il a tenté à de très nombreuses reprises de dompter ses sautes d’humeur hydraulique par des travaux souvent colossaux mais pas toujours efficaces. Il a surtout occupé le terrain naturel et a modifié de manière drastique les conditions d’apport et de concentration des eaux. De surcroît il n’a pas respecté les consignes de prudence que de simples analyses de terrain lui recommandaient de suivre, laissant libre cours à son imagination, construisant et/ou utilisant des fragments de territoire à des endroits mal adaptés ou peu sécurisants, mais qui présentaient l’avantage d’appliquer certaines politiques d’intérêt. Or, l’eau, elle, ne négocie pas. Et, a priori, elle n’a pas aucune raison de le faire. Omniprésente, indispensable à toute vie, elle se trouve donc chez elle sur notre... link-do-texto
 
 

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