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Istvan Kopar
Istvan Kopar, un américain New-yorkais d’origine hongroise, est navigateur professionnel et Capitaine diplômé de la garde-côtière américaine, depuis des décennies. Il a enregistré plus de 60 000 miles nautiques à son compteur, en naviguant en solitaire. L’exploit dont il est le plus fier à ce jour, a été de réaliser un tour du monde en solitaire avec une escale, mais sans GPS, en 1990/91. Il s’est appuyé uniquement sur le repérage au sextant, les tracés de cartes manuelles, et les prévisions météorologiques reçues en
code Morse. En voguant sur son bateau de 31 pieds, qu’il avait construit lui-même, Istvan a accompli le voyage en temps record compte tenu de la taille de son voilier. Il prit aussi la barre du voilier vainqueur du Hong Kong Challenge, course de voile autour du monde, en 1996/97. Il a fait parti des premiers finalistes, en 1992, dans la course transatlantique « 500-Columbus », et remporté le Trophée Kapry en 1995, à l’Atlantic Rally for Cruisers (ARC).
Il dit de la GGR: « Cette course est faite sur mesure pour moi. Mon premier héros et mon modèle était Joshua Slocum, le premier navigateur en solitaire autour du monde. Il n’avait aucun soutien foncier, pas de dispositifs modernes de navigation et de communication, ni même de régulateur d’allures. Il était de l’aventure réelle. Et il a pu accomplir cet exploit historique en raison de son éducation et de son lien constant avec les océans et la navigation.
Nous admirons les autres grands marins, mais l’écart créé entre la nature et ses utilisateurs devient de plus en plus visible jour après jour. Ceux qui concourent dans les grande courses au large telles que le Vendée Globe ou la Volvo dépendent de plus en plus des équipements fabriqués par l’homme et moins dépendants de la nature. Ils commencent à ressembler et à agir comme des astronautes dans l’espace, de plus en plus isolés de la nature dans leur « vaisseau de type spatial». Il y a une demande pour cela, et c’est pour le mieux. Pourtant, nous avons encore besoin d’Optimistes pour nous former. Et pour la même raison, nous avons besoin de courses comme la GGR. Il y a, à mon sens, une mission derrière tout cela. L’une de nos responsabilités est de conserver notre patrimoine et notre sens de marin, ainsi que d’augmenter le nombre de personnes autonomes, indépendantes et par conséquent heureuses dans le monde."
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