- A matéria abaixo, que selecionei no site da Ouest-France, pra nós lermos, amigos leitores, levanta uma questão das mais inquietantes, pra não dizer desesperadoras sobre o crime ambiental.
- Inúmeras atividades ilegais como tráfego de espécies protegidas por lei e de lixo tóxico, pesca e desflorestamento ilegais vem enriquecendo cada vez mais as
células mafiosas espalhadas pelo mundo, que lucram bilhões de dólares sem correr grandes riscos em suas atividades criminosas.
- A questão é, o que fazer para reprimir esses crimes que ameaçam o que temos de mais valioso sobre a Terra, a flora, a fauna mais o meio ambiente em si como um todo.
- Inúmeras atividades ilegais como tráfego de espécies protegidas por lei e de lixo tóxico, pesca e desflorestamento ilegais vem enriquecendo cada vez mais as
células mafiosas espalhadas pelo mundo, que lucram bilhões de dólares sem correr grandes riscos em suas atividades criminosas.
- A questão é, o que fazer para reprimir esses crimes que ameaçam o que temos de mais valioso sobre a Terra, a flora, a fauna mais o meio ambiente em si como um todo.
Fernando Costa
Le crime écolo, activité rentable pour les mafias
Déchets, pétrole, cornes de rhinocéros, etc : les mafias prospèrent de plus en plus dans le crime environnemental. Avec des milliards à la clé.
Trafic d'espèces protégées et de déchets, pêche et déforestation illégales, les crimes contre l'environnement rapportent beaucoup pour des risques limités, au point de devenir la quatrième source de revenu du crime organisé. Montant total du butin : de 70 à 213 milliards de dollars par an selon Cees Van Duijn, responsable de la sous-direction criminalité environnementale d'Interpol à l'origine d'une Conférence internationale intitulée « Sécurité et crimes contre l'environnement » organisée lundi et mardi à Nîmes.
C'est pourquoi, dit-il, « la sécurité environnementale fait partie intégrante de la sécurité nationale ». « Nous avons besoin d'attirer l'attention des policiers à travers le monde sur cette question et de les former », a assuré M. Van Duijn, en insistant sur les « convergences entre la criminalité environnementale et d'autres... LINK
Le crime écolo, activité rentable pour les mafias
Déchets, pétrole, cornes de rhinocéros, etc : les mafias prospèrent de plus en plus dans le crime environnemental. Avec des milliards à la clé.
Trafic d'espèces protégées et de déchets, pêche et déforestation illégales, les crimes contre l'environnement rapportent beaucoup pour des risques limités, au point de devenir la quatrième source de revenu du crime organisé. Montant total du butin : de 70 à 213 milliards de dollars par an selon Cees Van Duijn, responsable de la sous-direction criminalité environnementale d'Interpol à l'origine d'une Conférence internationale intitulée « Sécurité et crimes contre l'environnement » organisée lundi et mardi à Nîmes.
C'est pourquoi, dit-il, « la sécurité environnementale fait partie intégrante de la sécurité nationale ». « Nous avons besoin d'attirer l'attention des policiers à travers le monde sur cette question et de les former », a assuré M. Van Duijn, en insistant sur les « convergences entre la criminalité environnementale et d'autres... LINK
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